Lorsque l’on abuse un peu trop d’ayahuasca il peut arriver que l’on se prenne à rêver d’un monde uniquement peuplé d’oiseaux d’un genre nouveau, croisement entre un iguane à voix de robot et un flamant rose aux yeux d’émeraude. Cette drôle de créature règnerait sur la planète et pendant la saison des amours un vacarme assourdissant ressemblant à 16 524 orgues Hammond jouant toutes les gammes pentatoniques ayant jamais existé dans toutes les combinaisons possibles emplirait l’atmosphère.
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